Avec Guillaume Canet, Mélanie Laurent, Olivier de Benoist.
Producteurs : Christophe Rossignon et Philip Boëffard
Une co-production : Nord-Ouest Films, Une Hirondelle Productions, Canéo Films,
Auvergne-Rhône-Alpes Cinéma et CN6 Productions.
Avec la participation de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Distribué par Diaphana Distribution.
Le 14e Prix Jacques Deray du film policier est attribué à Mon garçon de Christian Carion, avec Guillaume Canet et Mélanie Laurent. Cette histoire d’un père prêt à tout pour retrouver son fils de sept ans qui a été kidnappé est un polar conceptuel et audacieux, tourné en 6 jours et en temps réel, dans lequel l’acteur-personnage Guillaume Canet découvre le scénario au fur et à mesure qu’il le joue.
Jacques Deray, disparu en 2003, a laissé en héritage quelques uns des plus grands classiques du cinéma policier français parmi lesquel Borsalino (1970), Flic Story (1975) et La Piscine (1969). Cinéphile et lyonnais, il était aussi vice-président de l’Institut Lumière. Depuis 2005, l’Institut Lumière et l’Association des Amis de Jacques Deray célèbrent sa mémoire en remettant chaque année ce prix, qui consacre un film policier français.
Les précédents lauréats sont Arthur Harari pour Diamant noir, Vincent Garenq pour L’Enquête, Frédéric Tellier pour L’Affaire SK1, Jérôme Salle pour Zulu, Philippe Lefebvre pour Une nuit, Maïwenn pour Polisse, Fred Cavayé pour À bout portant, Michel Hazanavicius pour OSS 117, Rio ne répond plus, Pascal Thomas pour Le Crime est notre affaire, Alain Corneau pour Le Deuxième souffle, Guillaume Canet pour Ne le dis à personne, Jacques Audiard pour De battre mon coeur s’est arrêté et Olivier Marchal pour 36, quai des Orfèvres.
Le Prix sera remis à Christian Carion samedi 24 février à 19h à l’Institut Lumière, en présence de Bertrand Tavernier, Christophe Rossignon (producteur de Mon garçon), Agnès Vincent-Deray et Laurence Deray, Thierry Frémaux et les membres de l’Association des Amis de Jacques Deray.
Pour rendre hommage à Jacques Deray, ce même jour à 16h sera projeté, en présence des invités de cette 14e cérémonie, Le Désordre et la nuit de Gilles Grangier (1958, 1h33), dont Jacques Deray fut l’assistant réalisateur, considéré comme l’une des plus belles réussites du trio Gabin-Grangier-Audiard et qui sera présenté dans une copie restaurée.
La voiture de Deray
C’est Jacques Deray, alors assistant de Gilles Grangier, qui allait chercher Jean Gabin dans sa petite Panhard, voiture qui n’était apparemment pas du goût de l’acteur : « Je me défonce le cul dans sa voiture. Il est bien comme assistant, mais il a une voiture à la con. » (Gilles Grangier, Passé la Loire, c’est l’aventure)
La billetterie du Prix Jacques Deray (après-midi et soir) est disponible ici
Remerciements à Nord-Ouest Films et Christophe Rossignon
Soirée organisée avec l’Association des Amis de Jacques Deray.
En partenariat avec France Télévisions, Jazz Radio et avec le soutien de la SACD
Jacques Deray
Les Prix Deray précédents :
2005 > 36, quai des Orfèvres (Olivier Marchal)
2006 > De battre mon coeur s’est arrêté (Jacques Audiard)
2007 > Ne le dis à personne (Guillaume Canet)
2008 > Le Deuxième souffle (Alain Corneau)
2009 > Le Crime est notre affaire (Pascal Thomas)
2010 > OSS 117 : Rio ne répond plus (Michel Hazanavicius)
2011 > À bout portant (Fred Cavayé)
2012 > Polisse (Maïwenn)
2013 > Une nuit (Philippe Lefebvre)
2014 > Zulu (Jérôme Salle)
2015 > L’Affaire SK1 (Frédéric Tellier)
2016 > L'Enquête (Vincent Garenq)
2017 > Diamant noir (Arthur Harari)
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